Etudiantes en Pampers malgré elle

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il y a 7 ans

Etudiantes en Pampers malgré elle

Le Premier ministre était assis à son bureau, la seule lumière provenait de la lampe sur la table. Il était tard et il était soucieux ; car, à la différence de la plupart des hommes politiques, il tenait vraiment à réaliser ses promesses.

Il avait annoncé au pays qu'il réduirait les grossesses non désirées des jeunes filles de plus de 50%. Malgré une longue campagne de sensibilisation, des distributions de préservatifs gratuits et une éducation sexuelle obligatoire dans les écoles pendant les douze derniers mois, les résultats atteints n'étaient pas satisfaisants. Il était désespéré ; c'était la raison pour laquelle il rencontrait le directeur des services secrets à une heure aussi tardive. Sa secrétaire était déjà partie depuis plusieurs heures ; la seule annonce de l'arrivée de Steve Elm fut donc la toux discrète qu'il fit en entrant dans le bureau. Typique d'un chef de l'espionnage, pensa le Premier ministre.

  • Bonsoir Monsieur le Directeur.

  • Monsieur le Premier ministre.

  • J'ai lu votre dossier, est-ce que ces publicités subliminales peuvent vraiment fonctionner ?

  • Elles se sont révélées extrêmement efficaces pendant nos tests, Monsieur.

  • Bien, vous pouvez donc obliger notre jeunesse à ressentir qu'ils ont vraiment besoin d'une contraception ?

  • J'ai bien peur que non, Monsieur. Vous voyez, la libido à cet âge est très active et il est presque impossible d'y imposer un quelconque conditionnement.

Même nos sujets expérimentaux adultes y ont été indifférents ; le conditionnement des jeunes filles serait encore plus difficile.

  • Mais vous avez pourtant une solution ?

  • J'ai une suggestion, Monsieur, qui - je le pense - résoudra notre problème.

  • Je vous écoute.

  • Pendant nos expérimentations, nous avons constaté qu'il est très difficile d'obliger quelqu'un à agir à l'encontre de sa nature, comme l'ont découvert les h y p n o t i s e u r s. Il est cependant possible de ren f o r c e r certaines convictions et de bloquer certaines capacités physiques.

  • Vous êtes en train de me dire que vous pouvez empêcher les filles de tomber enceintes rien qu'en leur faisant regarder des publicités subliminales à la télévision ? Comment cela peut-il affecter leur fertilité ?

  • Ce n'est pas le cas, Monsieur. Mais nous pouvons les rendre incontinentes et nous pouvons cibler la bonne tranche d'âge.

  • En quoi est-ce que cela est supposé nous aider ?

  • Hé bien, une fois qu'elles porteront des couches, nous pourrons ensuite nous concentrer sur la tranche masculine. Nous pourrons exacerber leur sentiment que les filles qui portent des couches sont beaucoup trop jeunes pour avoir des rapports sexuels, de façon à ce qu'ils se sentent pédophiles rien qu'en l'ayant envisagé.

  • Je ne peux pas imaginer un instant que les jeunes filles puissent porter des couches. Leurs parents iront tout de suite faire la queue chez leur médecin pour aller consulter.

  • Pas si nous ciblons également les parents. Ils croiront que beaucoup de jeunes filles de cet âge ont soudainement ce genre de problèmes, et ils voudront s'occuper de leurs e n f a n t s du mieux qu'ils peuvent.

  • Vous êtes convaincu que cela peut fonctionner ?

  • Nos essais sur une centaine de volontaires ont donné 100% de résultats, Monsieur le Premier ministre.

  • Est-ce que c'est vraiment éthique de faire ça ?

  • C'est votre décision, Monsieur, toutefois cela réduira la charge de l'Etat providence de plusieurs millions et permettra la création de nouveaux emplois.

Et les filles s'en remettront complètement dès l'âge de 18 ans ; elles devront juste réapprendre à utiliser les toilettes à ce moment-là.

  • De nouveaux emplois ?

  • Bien sûr, Monsieur, avec les usines qui fabriquent des couches et la mise en place d'aménagements pour pouvoir se changer. Je vous suggère de faire en sorte que Procter and Gamble produise une Pampers pour jeunes filles dans le même genre que celles pour bébé, de façon à renf o r c e r le conditionnement des garçons.

Offrez des réductions d'impôts pour s'assurer qu'elles seront largement moins chères que n'importe quelle couche destinée aux adultes. Je suis de toute façon persuadé que nous pouvons conditionner les parents pour qu'ils les achètent ; mais, des prix bas sont préférables pour les familles à faible revenu.

  • Je vois que vous y avez beaucoup réfléchi. A partir de quand et comment pouvons-nous procéder ?

  • Immédiatement, Monsieur le Premier ministre, et vous commencerez à voir les résultats dans deux semaines ; ce qui devrait être suffisant pour mettre les nouvelles couches sur le marché.

  • Et vous êtes certain que personne ne pourra soupçonner quoi que ce soit ?

  • Personne dans le pays, Monsieur. Tout le monde regarde trop la télévision.

Sans compter que personne ne pourrait croire une chose pareille.

  • Et comment ferons-nous pour ne pas être affectés ?

  • Nous ne pouvons pas, Monsieur, nous serons également conditionnés. Les insertions d'images subliminales sont faites par ordinateur, et je détruirai toutes les autres copies du programme. Dans douze mois, vous pourrez parcourir le pays et déclarer honnêtement que vous avez éliminé les grossesses non désirées des jeunes filles en Angleterre, sans être même conscient de l'utilisation de cette méthode.

  • Très bien, vous avez mon autorisation pour démarrer.

Chapitre 2 : Deux semaines plus tard

Suzy était soucieuse, elle avait commencé à mouiller son lit au début de la semaine. Ce n'était d'abord que quelques gouttes, mais jeudi il lui avait été impossible de le cacher à ses parents. Sa mère lui avait apporté tout son soutien, en disant que de telles choses arrivaient aux filles de son âge, que c'était normal et que ça passerait. Elle devait juste aller lui acheter des protections, et sa mère savait quoi choisir.

Elles étaient allées voir le pharmacien du quartier, qui était d'accord avec le fait que c'était parfaitement normal sinon pourquoi Pampers aurait fabriqué une couche à sa taille ? Elles sortirent en emportant un grand paquet de couches avec, sur le devant, l'image d'une jeune a d o l e s c e n t e souriante et les mots « Pampers Teen Premium, pour les petites filles qui ont grandi ». Suzy eut l'impression qu'elle allait mourir de honte alors qu'elles retournaient vers la voitur, mais personne n'y prêta attention. Lorsqu'elle croisa des filles de son âge, elle pensa qu'elle allait être ridicule, mais elles ne firent que regarder discrètement ailleurs.

Ce soir là, elle était prête à aller se coucher comme d'habitude et elle alla se laver les dents. Lorsqu'elle revint dans sa chambre, sa mère était là avec une couche posée sur le lit.

  • Tu es prête à aller au lit, Suzy ? Je vais t'aider à mettre ta couche.

  • Mais maman, je suis sûre que je peux me débrouiller seule.

  • Ne discute pas, ce n'est pas différent de quand tu étais petite. Tu ne veux pas avoir de fuites, n'est-ce pas?

Suzy se résigna, elle n'avait rien à répondre face à ce ton autoritaire, mais elle était surprise. Un mois plus tôt sa mère lui avait dit qu'elle était maintenant suffisamment grande pour s'organiser toute seule, et maintenant elle n'était apparemment plus capable de mettre sa propre couche. Elle s'étendit sur la couche. Sa mère lui mit un peu de talc, ferma la couche et fixa les autocollants. Suzy regarda ce que ça donnait et vit un défilé d'ours sur la bande à la taille, portant des crayons et jouant aux Lego, le tout sur un fond rose. Le reste de la couche était complètement blanc, hermétiquement plaqué sur le devant et plus ample à l'arrière.

  • Nous y voilà : c'est fait. Appelle-moi si tu as besoin d'aide.

Suzy remonta la couverture et se retourna pour dormir, avec quelques difficultés car l'épaisseur entre ses jambes n'était pas familière et le plastique glissait vraiment facilement sur les draps. Elle était également consciente de l'augmentation de la chaleur causée par la couche. Elle parvint toutefois à s'endormir.

Elle fut réveillée par sa mère le lendemain matin et pu sentir que le lit était sec. Maintenant ses petits problèmes étaient donc terminés.

  • Allez, c'est l'heure de se lever. Tu as besoin d'aide ?

  • Pourquoi faire ?

Suzy sauta du lit et prit immédiatement conscience du poids de la couche complètement trempée entre ses jambes. Elle pendait comme le symbole de ceux qui pissent au lit. Elle devint toute rouge en se tenant debout ainsi à son âge devant sa mère.

  • Est-ce que tu as besoin d'aide pour te nettoyer ?

  • Heu, non, non. Je vais me débrouiller, merci.

Elle se précipita dans la salle de bain, retira sa chemise de nuit et défit sa couche. Elle la roula en boule et la jeta dans la poubelle.

Partout dans le pays, les jeunes filles s'étaient réveillées dans le même état et s'étaient vu offrir de l'aide par leur mère soudainement devenues trop dévouées. Sirius, le système informatique aux services secrets, avait achevé l'exécution de son premier programme. Il vérifia les résultats en comparant les variations de ventes des couches et les articles dans les journaux, et passa à l'étape suivante. Les hommes dans toute l'Angleterre étaient déjà extrêmement soucieux à l'idée de côtoyer des filles portant des couches. Les mères pensaient qu'il valait mieux leur faire porter des couches la nuit à leurs filles, comme pour les jeunes, et elles devinrent de plus en plus « serviables ». L'exécution du second programme allait commencer à affecter également le contrôle en pleine journée.

La semaine se déroula de façon ordinaire, comme pour toute collégienne de son âge, excepté le rituel nocturne qui consistait à laisser sa mère lui mettre une couche. Suzy continua comme d'habitude.

Pendant le week-end, elle remarqua une nouvelle campagne de publicités à la télévision de Procter and Gamble, pour des Pampers. Ils étaient en concurrence avec Kleenex, qui proposait maintenant des Huggies pour a d o l e s c e nt e s avec des tailles pour les filles de 13 à 18 ans. Suzy fut étonnée par la tournure que prenait la publicité. Des filles faisaient de la gym et du sport, avec une voix en arrière plan disant que Pampers leur permettait de rester au sec et d'éviter les fuites, avec maintenant de nouveaux autocollants très résistants qui ne se déferaient pas pendant ces activités. La publicité se terminait avec cinq filles d'une équipe de netball remontant leurs jupes pour montrer leurs Pampers, toujours solidement en place malgré ce jeu mouvementé.

Suzy était stupéfaite, les filles semblaient agir comme si c'était parfaitement normal. Elles savaient que beaucoup devaient mouiller leur lit, parce que les fabricants se donnaient la peine de faire des couches à sa taille, mais elle n'avait jamais entendu parler de quelqu'un à l'école qui en aurait eu besoin pendant la journée. Elle ignorait bien sûr que toute cette publicité avait été produite par Sirius et qu'il s'agissait d'images de synthèse. Il n'y avait pas de vraies filles en couches pendant la journée, en tout cas pas encore.

Le lundi matin arriva et Suzy fut réveillée par sa mère comme d'habitude. Sa couche pendait lourdement et était teintée de jaune, encore une fois comme d'habitude. Elle alla se laver et revint pour s'habiller, c'est alors qu'elle remarqua le nouveau paquet de couches que sa mère avait acheté samedi. Cette fois il y avait dessus l'image d'une a d o l e s c e n t e endormie avec les mots « Pampers Teen Extra-nuit, pour les grandes filles endormies ». Il lui avait bien semblé que les couches étaient plus épaisses que d'ordinaire (;) mais(,) elle avait conclu que ce n'était que le fruit de son imagination. Peut-être avait-elle eu raison après tout.

Elle enfila son uniforme : une veste bleu foncé, un chemisier blanc, une jupe droite bleu foncé, des mis-bas blancs et des chaussures. Les fuseaux et les collants étaient autorisés à l'école, mais Suzy ne voulait pas s'en embarrasser.

Après un petit-déjeuner rapide, elle était dehors pour prendre le bus.

Sur le chemin, elle commença à avoir envie de faire pipi, mais elle était sûre de pouvoir se retenir. Elle fut étonnée de voir une tache humide dans sa petite culotte lorsqu'elle alla aux toilettes à l'école, car elle n'avait ressenti aucune réelle urgence. Mais ce n'était pas bien grave.

Pendant la journée, elle remarqua que les envies de faire pipi devinrent de plus en plus fréquentes. Il y eu de nouvelles taches humides dans sa culotte. A un instant, elle failli presque se faire dessus à la fin du cours d'histoire. Elle n'était pas la seule, toutes les autres filles de la classe avaient été excusées du cours à de nombreuses occasions, et il lui avait semblé sentir une odeur d'urine provenant de l'une d'elles.

Le retour en bus à la maison prenait habituellement trente minutes. Au bout de dix, Suzy eut encore besoin de faire pipi malgré le fait qu'elle y soit allée juste avant de quitter l'école. Une des autres filles était visiblement dans le même état et se tortillait sur son siège en face de Suzy. Elle couina soudain et mouilla sa culotte. De l'urine coula du siège en plastique sur le sol, mais il n'y eut pas de moqueries. Les garçons dans le bus semblaient trouver cela normal, et les autres filles étaient extrêmement reconnaissantes que ça ne leur soit pas arriver à elles.

Suzy arriva à se retenir jusqu'à son arrêt. Mais en marchant sur le chemin de la maison, elle senti soudain l'urine dégouliner le long de ses jambes, sans avertissement. Elle s'était juste mouillée en marchant. Elle ne pouvait rien faire d'autre que de continuer à marcher ; ce qu'elle fit, consciente de l'inconfort de sa culotte trempée devenue collante et de ses bas trempés. Sa mère se trouvait dans l'entrée lorsqu'elle arriva.

  • Oh, Suzy, tu as eu un accident ? Je savais que je n'aurais pas du te laisser partir comme ça. Viens, on va te nettoyer.

  • Mais je peux le faire moi-même, maman.

  • Non, allez viens. Je veux être sûre que tu n'auras pas d'irritations.

La mère de Suzy l'emmena à l'étage et lui fit couler un bain pendant qu'elle se déshabillait. Elle se mit assise sur les toilettes et regarda sa fille se nettoyer avec soin puis se sécher. Elle prit ensuite un flacon dans l'armoire à pharmacie. A travers ses mains, Suzy pouvait lire « Pampers » quelque chose et « doux comme un bébé » à l'arrière.

  • Maintenant je veux être certaine que tu n'auras pas d'irritations. Ouvre les jambes et laisse-moi te mettre ça.

Suzy accepta et observa la scène, plutôt gênée, pendant que sa mère étalait la lotion sur son sexe et entre ses fesses. Pendant qu'elle se séchait les cheveux, elle ressenti alors de légers picotements et un certain échauffement. Sa mère l'emmena ensuite dans la chambre. Sur la commode, à coté de ses couches extra- nuit, se trouvait un nouveau paquet avec dessus l'image une fille courant dans un parc, sa jupe virevoltant afin de montrer la couche en dessous, et la légende « Pampers Teen pour les filles actives, avec maintenant des autocollants plus résistants »

  • Maman, je n'ai pas besoin de ça !

  • Ne soit pas bête, tu as mouillé ta culotte aujourd'hui. Ce n'est pas inhabituel pour les filles de ton âge, j'aurai déjà du t'en mettre avant.

  • Mais c'était juste un simple accident.

  • Très bien, on va faire un marché. Si cette couche est toujours sèche avant d'aller au lit, demain je te laisserai mettre à nouveau une petite culotte, sinon tu mettras une couche. Ca te va ?" - Je pense que oui.

  • Bien, laisse-moi essuyer cette crème, allonges-toi.

Ce n'est qu'à ce moment-là que Suzy remarqua le matelas à langer sur son lit.

Les motifs dessus ressemblaient à ceux qui étaient sur la bande à la taille de la couche qu'elle avait portée pendant la nuit (;) et, bien entendu, il était à la bonne taille pour elle. Elle s'allongea et écarta les jambes pour laisser sa mère nettoyer la crème. Mais alors qu'elle le faisait, tous les poils pubiens de Suzy partirent avec, même les plus petits autour de son anus.

  • Maman, qu'est-ce que tu as fait ?!

  • Chut Suzy, c'est le meilleur moyen d'éviter les irritations avec les couches, c'est recommandé par les médecins.

Suzy était trop abasourdie pour répondre, elle ressemblait à une gamine maintenant, même sans porter sa couche. Elle s'allongea sur le dos et laissa sa mère lui mettre du talc et fixer sa couche.

  • Voilà, c'est terminé. Habille-toi maintenant, le repas sera prêt dans une demi-heure.

Suzy enfila une jupe avec un t-shirt - les jeans étaient à écarter - et elle s'installa à son bureau pour faire ses devoirs. Elle descendit quand sa mère l'appela pour venir manger. Elle n'avait pas ressenti la moindre envie de faire pipi et pensait pouvoir remporter le marché facilement.

  • Suzy, laisse-moi vérifier ta couche, dit sa mère après qu'ils aient mangé et fait la vaisselle.

  • C'est bon, maman. Je n'ai pas encore eu envie de faire pipi.

  • Laisse-moi regarder quand même.

En le disant sa mère traversa la pièce et remonta la jupe de Suzy, mettant sa main sur le derrière de sa fille.

  • Ca alors ! Tu es trempée. C'est bien que ces couches soient conçues pour durer quatre heures entre chaque change, ou bien il y aurait eu des fuites par terre. Tu porteras donc des couches dès maintenant, jeune fille, comme nous l'avions convenu.

  • Bien maman.

Suzy remonta à l'étage pour enfiler une couche propre, elle essaya de défaire les autocollants de la couche trempée qu'elle portait, mais ils refusèrent de bouger.

  • Ne soit pas idiote, allonge-toi et laisse-moi faire. Ces nouveaux autocollants sont faits pour maintenir la couche en place pendant que tu joues, je ne pense pas que tu puisses les défaire toi-même.

Suzy endura donc le premier des nombreux changes dont elle ne pourrait pas s'occuper. Elle fut nettoyée, poudrée et sa mère lui mit une nouvelle couche.

Elle descendit ensuite regarder la télévision.

Sirius analysa les rapports et les résultats de la seconde étape. De nombreuses filles portaient maintenant des couches pendant la journée, et devaient bien sûr être changées par quelqu'un d'autre. Mais certaines avaient eu recours à des serviettes hygiéniques épaisses, en particulier dans les familles qui n'avaient pas de mère présente. Des mesures fermes étaient nécessaires, le programme exigeait que toutes les filles entre 13 et 18 ans portent des couches constamment. Sirius prépara donc une nouvelle campagne de publicités, à la fois subliminale et normale, et modifia les informations sur les ordinateurs de Procter et Gamble afin de suggérer que les parents n'étaient pas satisfaits de la contention à l'arrière des couches Pampers Teen.

Une autre publicité de Pampers arriva à la télévision, cette fois pour une crème contre les irritations. On y voyait une fille sur une table à langer, avec une femme, qui était vraisemblablement sa mère. La publicité était bien conçue : le sexe de la fille était caché par sa jupe remontée mais la couche qui avait été défaite, ne l'était pas. Non seulement elle était mouillée, mais il y avait aussi une trace sombre à l'intérieur. « Plus votre petite fille grandit, plus il devient difficile de la garder propre. La crème anti-irritations de Pampers peut vous aider. Sa base à l'oxyde de zinc stoppe la prolifération des bactéries nuisibles. La formule brevetée élimine aussi les poils afin de rendre votre fille plus propre et plus fraîche ». La publicité se terminait avec la fille souriante descendant de la ta ble à langer en portant une couche et qui sortait du cadre. Suzy était dubitative, où avaient-ils bien pu trouver une fille qui accepterait de faire changer sa couche mouillée et sale à la télévision, et de montrer ensuite son visage à des millions de personnes. Est-ce que les filles de son âge se salissaient encore ?

Sirius avait effectué un nouveau travail remarquable : la publicité paraissait réelle et le message subliminal qu'elle contenait pourrait commencer à faire son effet.

Lorsqu'il fut l'heure d'aller au lit, Suzy alla se préparer. Elle retira ses vêtements et se lava les dents. Sa couche était de nouveau mouillée et elle ne se souvenait pas l'avoir utilisée. Elle appela sa mère.

  • Maman, je suis prête pour aller au lit.

  • J'arrive.

Suzy s'allongea sur le matelas à langer et sa mère lui mit une couche extra- nuit. Elle commenta le fait qu'elle avait déjà mouillé deux couches dans la soirée et que c'était une bonne chose d'avoir acheté des couches pour la journée.

Le matin Suzy se réveilla comme d'ordinaire, elle alla dans la salle de bain pour se nettoyer. Pendant qu'elle prenait sa douche, un filet d'urine coula le long de sa jambe. Elle fit comme si de rien n'était et se nettoya à nouveau la jambe. Elle se sécha et retourna dans sa chambre afin que sa mère lui mette une couche propre. Quand ce fut terminé, elle commença à s'habiller.

  • Ah, Suzy, tu ne peux plus porter cette jupe.

  • Et pourquoi ?

  • J'ai reçu un courrier de l'école, ils ont demandé que les filles portent des jupes plus courtes et plus évasées, afin de faciliter les changes.

  • Les changes ?!

Suzy réalisa soudain que si elle portait une couche, elle ne pourrait pas la retirer toute seule et qu'elle devrait demander à être changée, comme un e n f a n t.

  • Ne t'inquiète pas, ce sera pareil pour toutes tes amies. Je pense que l'école va embaucher du personnel supplémentaire à l'infirmerie.

Suzy se rendit à l'arrêt du bus scolaire ; sa courte jupe se soulevait dans le vent en montrant sa couche de temps en temps. Même lorsqu'elle restait en place, elle atteignait difficilement le bas de ses fesses. Elle se rendit compte que toutes les filles qui attendaient le bus portaient des jupes similaires et que chacune avait une couche en dessous. Lorsqu'elles étaient assises, à moins de bien serrer les jambes l'une contre l'autre, ce qui était difficile en portant une couche, elles montraient leur couche à tout le monde. Croiser les jambes en portant une couche était impossible.

La matinée de Suzy se déroula sans rien de spécial. Les filles ne se précipitaient plus en dehors de la classe, mais mouillaient simplement leurs couches. Suzy réalisa que sa couche était déjà mouillée à la récréation du matin, et qu'elle aurait besoin d'être changée avant midi.

Alors qu'elle allait vers l'infirmerie, elle ressenti quelque chose de nouveau. Elle écarta soudain les jambes et poussa une grosse masse dans l'arrière de la couche. Elle ne pouvait pas croire qu'elle l'avait fait, en plein passage, là où tout le monde pouvait la voir. Il n'y avait pas eu d'avertissement, juste l'envie soudaine de pousser et c'était fait. Elle tituba sur le chemin, essayant de ne pas trop écraser la bouillie à l'arrière, mais cela s'étala quand même sur tout son derrière. Elle commença aussi à en sentir l'odeur. Lorsqu'elle arriva à destination, elle du attendre que deux autres filles soient changées.

Elle était un peu rassurée de voir que les deux filles avaient aussi sali leurs couches, et elle fut amusée lorsque l'une d'entre elle commença à faire pipi pendant le change. L'infirmière ne fit pas de remarques et referma simplement la couche sale pour contenir l'urine, avant de poursuivre. Lorsque ce fut au tour de Suzy, il y avait encore plus de filles qui attendaient et elle se cacha le visage pendant que son derrière était nettoyé. L'infirmière grommela quelque chose à propos des vieilles Pampers qui étalaient de tout partout et alla chercher une couche propre. Elle était du même style que celle que Suzy avait mis ce matin-là, mais l'arrière était bien plus épais et se distinguait d'avantage. Lorsqu'elle s'en alla, Suzy remarqua que la couche soulevait encore plus sa jupe à l'arrière, et la plus grosse épaisseur entre ses jambes la faisait se dandiner un peu.

Sirius analysa les données quatre heures plus tard. Toutes les filles dans la tranche d'âge visée portaient maintenant des couches constamment. Il y avait cependant certains rapports de filles ayant des relations sexuelles avant l'âge.

Cela allait à l'encontre du programme qui ne tolérait aucune grossesse chez les jeunes filles. Sirius démarra donc une nouvelle série de publicités.

Un an plus tard

La tâche de Sirius était accomplie. Il était maintenant un fait accepté en Angleterre que les jeunes filles ne peuvent pas apprendre à utiliser les toilettes avant d'avoir 18 ans, qu'elles doivent donc porter des couches avant cet âge et qu'elles ont également besoin d'aide pour se changer.

Les petites culottes de filles n'existaient plus, à moins de compter les Pull- ups et les culottes d'entraînement faites pour les filles de 18 ans, qui étaient vendues dans des pots ( ? = tailles, gabarits, boites ?) pour la même tranche d'âge. Les jeans et les collants avaient disparu. Les filles portaient maintenant des jupes courtes ou des petites robes qui laissaient souvent voir leurs couches. Il n'y avait plus de toilettes pour filles dans les écoles et toutes les toilettes publiques étaient équipées d'une salle de change pour les filles. Il était habituel d'apercevoir une fille en train de se faire changer dans un parc ou sur la plage, et il était courant de voir des filles de 18 ans baisser leur culotte d'entraînement afin de faire pipi au bord de la route. Les parents étaient contents de pouvoir laisser leurs filles jouer avec juste un tee-shirt et une couche pendant les jours les plus chauds. Les parents les plus libéraux laissaient même leurs filles de 18 ans avec juste un tee-shirt, leur fente dénudée bien en vue, afin qu'elles puissent sentir si elles se faisaient pipi dessus.

Bien sûr la télévision reflète la vie réelle, ce qui signifie que les actrices qui voulaient incarner de jeunes filles à l'écran devaient porter des couches.

En quête de réalisme, elles devaient également les utiliser devant la caméra en certaines occasions. La population n'eut rien à redire sur ces changements, puisque c'était comme ça que les choses devaient être.

Sirius ronronnait silencieusement dans l'obscurité du sous-sol des services secrets. Le programme était incomplet, les filles qui avaient quitté l'Angleterre n'avaient plus besoin de porter des couches avant 18 ans, il fallait remédier à cela. L'ordinateur se connecta donc à plusieurs réseaux de diffusion à travers le monde, et commença à diffuser une nouvelle série de messages publicitaires dans les autres pays.

Fin.

Abigail

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